Thalès, EADS, le Commissariat de l’énergie atomique (CEA), ... Deux jours durant, chercheurs et industriels (mille personnes en tout) représentants des dizaines d’entreprises ont
 
   discuté
  
 de technologies aussi variées que la biométrie, la détection et l’identification de personnes à distances, ou la neutralisation de navires-kamikazes dans les ports. De quoi faire frémir certains défenseurs de la protection des données et plus généralement des droits de l’homme.
 
 Invité à inaugurer la conférence de Paris, le commissaire européen en charge de la…
La protection des données : poil à gratter de la recherche en sécurité
          
          
            01 octobre 2008 à 9h18