Pourquoi l’État s’y prend mal pour réformer

L’action publique pâtirait d’un manque de cohérence, que ce soit sur le calendrier, la définition des objectifs ou les méthodes d’évaluation. La réforme territoriale en est un exemple criant.
16 décembre 2014 à 17h38

À lire également

Vous êtes en train de simuler une navigation avec l'adresse IP :